La Goutte

La Goutte d’Eau

Association humanitaire dont la Marraine est une haute personnalité.

Historique :
Dans les années 60, un jeune couple d’instituteurs suisses tombe amoureux de la brousse africaine. Ils s’installent au Tchad, au bord du fleuve Chari et entreprennent la culture des melons. Ils n’ont pour toute fortune qu’une 2cv Citroën, mais beaucoup d’ardeur. La terre vierge, le soleil brulant et l’eau fraiche du Chari feront le reste.  2 ans plus tard, leur melons sont tellement sucrés et savoureux qu’ils sont servis au palais de Buckingham.

Le projet « La Goutte » que voici, s’inspire de cette histoire vraie.

Le but principal,  de cette association est de proposer à un africain qui se prépare à traverser la Méditerranée, ou qui, déçu, est déjà entrain de songer au retour dans son village, une solide formation, puis le métier de jardinier salarié, spécialisé dans la culture vivrière de SON village, dans ces régions arides où sévit le plus l’exode rural.

Quand les petites gouttes d’eau produisent…15.000 kg de légumes par an 

L’Europe : Chacun des 27 Pays d’Europe possède son école de formation où peuvent se rendre les émigrants qui y trouveront un hébergement et une formation de 6 mois. Ils y apprendront le métier de jardinier mais également à installer et entretenir « La Goutte » de leur village où ils ont décidé de retournerFinancement : Les Européens(habitants & pouvoirs publiques)  donnent -des dons modiques- pour que les émigrants puissent grâce à ces gouttes:

  • Retourner (ou rester) dans leur village d’origine-Créer de nouvelles cultures vivrières.
  • Avoir de l’eau potable.
  • former un « technicien » compétant & salarié qui pérennise chaque opération

Géographie :
Il y a plus ou moins 10 millions de villages en Afrique, dont la moitié a régulièrement besoin d’eau potable, ou d’eau pour faire pousser de quoi se nourrir. C’est la principale cause de l’exode rural, qui déclenche l’émigration. Et en même temps… 2 à 3 milliards d’habitants sur d’autres continents, qui aimeront l’idée d’aider ces villages en leur offrant (même symboliquement) les outils, les semences  nécessaires et la façon de s’en servir.

Les végétaux:
Le Cirad nous inventera des légumes adaptés à l’arrosage goutte à goutte: Manioc – Igname – Topinambour – Patate douce – Maïs – autres (inspirés des recherches au Kenya ou en Israël).  Ou des végétaux qui aimeront les pluies diluviennes de la saison des pluies.

L’intendance en Europe: Dans chaque pays Européen, un petit village déserté,  devient le centre de production de l’outillage nécessaire ainsi que de la formation des techniciens ou de la production des semences. Ce village est peuplé d’émigrants « sélectionnés »  encadrés et formés au métier de jardinier La Goutte.
Ces villages sont même « débaptisés » pour s’appeler « La Goutte » Le site www.goutte.org devient célèbre. Avant de repartir pour l’Afrique, ces africains apprennent à fabriquer, à utiliser, et à réparer des mini pompes (1 m3/heure=280 milliards de gouttes /24h)

Le nouveau mode de culture La Goutte

La Goutte,  devient un véritable Kit technique:

Des kilomètres de mini tuyau « goute à goute » sont produits à partir de plastique recyclé (PE de récupération ou P.E.T. des bouteilles ou autre). Ces mini tuyaux seront ensuite percés, sur place pour chaque plante et une punaise plastique pourra en obstruer soit une fuite soit l’écoulement non nécessaire de cette eau si précieuse.
Dans l’un des villages européens « La Goutte »   est également roto-moulé, une solide    citerne ronde  Ø 1m20, (taille d’une palette de transport) hauteur  de 2 m 20 (hauteur intérieure d’un container) contenant donc 2,5m3 d’eau   avec un couvercle étanche « clipable et cadenassable »   lui aussi en plastique qui en fera une citerne après avoir servi de  coffre à la livraison du Kit en brousse.
Cette citerne contient un « coffre fort » permettant de stocker les semences ainsi que les tuyaux et des gouttes à gouttes. Le coffre contiendra également une trousse de réparation (colle, plaquettes rustines, autres) qui permettra au jardinier de faire face aux éventuelles urgences.

La citerne est en plastique noir pour résister aux rayons UV africains. Cette couleur permet en outre d’utiliser les plastiques de recyclage.

6 poignées autour de la citerne faciliteront son déchargement puis sa stabilisation sur place par 6 des tubes de chemisage du puits. 5 seront remplis de béton. Le sixième étant le puits.
Un ciment spécial est conçu, qui peut se mélanger à de la terre de brousse (il ne sert que de remplissage des tubes).

La tarière de labour est fabriquée à partir de ressorts de véhicules à la casse.

Cette tarière à bras,  est actionnée par 2 hommes et fait des trous de plantation de Ø 15cm et de 20cm de profondeur où seront plantés les graines spéciales du Circa. Ce travail en ligne est beaucoup moins fatiguant que la Houe traditionnelle.

Les zones d’élevage :

Une fontaine abreuvoir est installée à moindre frais. Un bac de pâturage est solidement fixé près du village. Il contient 1.000 litre. Il est en permanence rempli par un flotteur. Ce flotteur (à l’intérieur du bac) contrôle son niveau de remplissage, Il ne devra pas pouvoir rester ouvert ou fuir et n’être manipulé que par le jardinier.

Le puits 
L’émigré qui a décidé de retourner comme technicien & Jardiner, dans son village laisse le temps aux puisatiers  locaux (les 6 mois de sa formation en Europe) pour aller repérer le village en question et d’y forer le puits. Ce puits, centre de toute l’opération,  est réalisé et financé par l’Union des « gouttes Européennes »  qui ont les moyens techniques, politiques et financiers d’agir.
Chaque puits Ø 11cm sera chemisé et « crépiné » par des tubes plastiques soudés/collés,  les mêmes que les 5 pieds bétonnés de la citerne.

La Pompe : C’est une pompe à main, à manivelle qui selon la profondeur de la nappe peut remonter jusqu’à 5m3/heure. Elle est solidement fixée au dessus du puits et chaque tour de manivelle génère 2 sorties d’eau :

  • Une pour les bidons que le village vient puiser (80% du débit)
  • Une pour la citerne du potager goutte à Goutte (20 % du débit)

Cette pompe intelligente permet également lorsqu’on actionne le « levier Télé »  (chaque soir de 18 à 19 heures) de :
Envoyer toute l’eau vers le potager pendant 1 heure.
Actionner une dynamo qui fait fonctionner la télévision du village. (Cette dynamo pourra en même temps recharger les téléphones portables).

Du village de formation  La Goutte, part bientôt l’ancien émigré  qui revient dans son village maintenant qu’il est formé pour devenir responsable de la mise en œuvre et du fonctionnement permanent de La Goutte  de son village. Grâce à un vrai métier valorisant, son salaire mensuel est ainsi le garant de la pérennité de l’opération. Il signera un contrat suffisamment rigide pour ne pas pouvoir en faire à sa guise, une fois en poste et responsable. Le Jardinier verra qu’il a là le moyen pérenne de « re-vivre », dans son village, grâce à un vrai salaire mensuel payé pendant 3 ans, par La Goutte. 

Le village La Goutte à également une structure d’accueil et de formation en Lybie, qui évitera bien des malheurs. Dans ces villages de formation seront diffusés tous les films démonstratifs existants. En dehors du salaire du jardinier, viré mensuellement dans la banque de son pays par liaison sécurisée La Goutte,  aucun argent n’est envoyé.

N’est expédié que du matériel utile au projet.

Par une appli simple, les téléphones portables permettront une communication permanente entre le village de brousse et le central La Goutte en Europe. Ainsi le jardinier devra envoyer  chaque semaine une photo ou un film de l’avancée des travaux, de la pousse des légumes, de sa récolte « joyeuse », ses cuissons, des témoignages, des illustrations de problème  que le responsable ne sait pas gérer etc.
Ces preuves de bon fonctionnement sont renvoyées le jour même  par e-mail ou SMS, depuis le bureau central du village La Goutte aux donateurs de chaque projet personnel qui le souhaitent et qui pourront ainsi suivre l’aventure de leur don.
Ces photos ou films, seront diffusés par « Télé Goutte » dans les villages équipés. Ces diffusions entretiendront l’ardeur et le sérieux de l’opération dans chaque village.

Le jardinier est ainsi encadré et soutenu en permanence par l’appli du portable et des SMS envoyés dans les 2 sens. Les plantations inappropriées ou défectueuses sont repérées et des dispositions sont prises.

Lorsqu’un légume arrive à sa fin de production, Le jardinier est prévenu qu’une autre graine doit être semée dans telle ligne du goutte à goutte et ainsi les trous de plantation arrosés par les goutte à goutte  servent en permanence, quelque soit la saison. Certaines fanes de légumes qui n’auront pas de capacité alimentaires serviront de paillage et d’engrais pour garder au sol son humidité et sa fertilité.

D’autres fanes seront bouturées (patate douce) ou replantées.
Le service agro de l’association aura une solide connaissance du climat local et pourra ainsi décider de quelle autre plante sera suivie la plante en fin de vie.

Le Circa: Pourra créer des variétés de légumes exotiques, ou pas, adaptées à nos potagers La Goutte. La saison des pluies déclencheront par exemple, la culture d’une nouvelle plante comestible qui vit 3 mois dans l’eau. La recette de sa consommation est à propager dans le village. La goutte permet ainsi une production vivrière, intensive, variée, tout au long de l’année et un abreuvoir toujours plein…à l’image des fontaines de nos anciens villages.

Volume de production :

Sur chacune des 30 lignes de production longues de 50 mètres,  poussent  500Kg annuels de culture alimentaire. La culture du manioc plus encore ! Soit une production annuelle échelonnée, de 15 tonnes de nourriture. Les Brèdes (feuilles comestibles)  les semis décalés et les bouturages augmenteront encore cette production.
Des modes de préparation, de consommation, conservation et de stockages appliqués aux nouveaux légumes sont également mis au point et communiqués aux villageois par des cuisinières bénévoles qui montreront comment on prépare cette nouvelle végétation. La plus part des villageois n’ont en effet  pas l’habitude comme nous de manger (par exemple) une soupe faite de feuilles de pissenlit que le jardinier pourra arracher lorsque la  maturité de la plante ne les justifie plus.

Engrais : Le fumier des animaux du village sera apporté par les villageois au jardinier qui le distribuera sous les gouttes à gouttes.

Un disque protecteur de 30cm dégradable, est placé sur la graine et le goutte à goutte. Ce disque est imbibé de fertilisant. Sa matière libère l’engrais nécessaire qu’elle contient et constitue la serre de la plante en protégeant de l’ardeur du soleil.

L’inspecteur :
L’association aura les moyens de salarier un technicien chevronné  itinérant, par pays, qui sera capable de réparer les pannes éventuelles, de changer toutes les pièces détachées contenues dans son « camping car ». Il aura aussi l’habileté et l’autorité de résoudre les problèmes de personnes. Il surveille et conseille chaque jardinier. En quittant le village, comme tous les inspecteurs,  il envoie  une fiche au dossier central, sur le jardinier et sur l’état de  La Goutte.

Les visiteurs :
Une case (avec douche) réservée aux donateurs Européens (ou aux médias) est à leur disposition pour venir passer des  vacances techniques, studieuses,  amicales et gratifiantes.

A quoi ressemble La Goute sur le terrain :

Au centre se trouve le puits surmonté de la citerne de 2.500 litres d’eau pure.
Sur la citerne sont rangés et  attachés les « précieux outils ». Une silhouette blanche indique chaque place et signale un manque.
Autour de la  citerne, partent en sillons (comme des rayons de bicyclette) 30 lignes de 50 m de tubes gouttes à gouttes soit 1.500m de culture maraichère.
Le gros tuyau distributeur qui constitue le « moyeu » de cette roue autour de la citerne  est numéroté aux endroits à percer où seront vissés les  embouts de départ des 30 tuyaux irrigateurs. Ces numéros identifieront chaque sillon et  aideront la communication avec le jardinier. L’arrivée au grillage de chaque sillon sera  marquée d’un jalon. Entre le numéro et le jalon, le tuyau distributeur tracera la position des trous de plantation de culture à tarauder.

Une fois labourés, les trous de plantation seront définitifs. Ces 900 trous devront être faits au début de l’installation, lorsque « tout nouveau tout beau » le jardinier trouvera de l’aide. On peut envisager une compétition inter village qui mette à contribution les habitants du village.
Ces mini tuyaux sont percés sur place d’un goutte à goutte tous les 30 cm (plus ou moins selon les plantes) … Voir les petits schémas… mieux qu’un long discours ! 400 m de grillage de 1m de haut ceintureront et protègeront cet « oasis tentant » pour les animaux du village ou les jeux des enfants. Au dessus des piquets de soutien, un fil de fer électrifié par un électrificateur solaire, situé sur la citerne, protège des singes ou d’autres prédateurs.
Une fois semé, l’enclos ne sera arpenté quotidiennement que par le jardinier qui contrôlera et règlera chaque goutte à goutte, jusqu’à la récolte ou le semis alterné. C’est son travail puisqu’il est payé pour ça.

La Goutte et les ados de France :

Sur sélection dans les classes en France et après une semaine de télé formation, quelques jeunes pourront passer 15 jours de vacances studieuses dans un village. Ils rapporteront eux aussi de cette expérience, des films (TV), des photos, des souvenirs, de la fraternité, de l’expérience, une thèse, un rapport, etc. Une caméra et des Sandisk leur seront offerts à cet effet.
Dans les accords avec le village africain, il est convenu d’une transmission mutuelle des savoirs, d’une formation, bref un échange  fraternel valorisant pour tous. Les premiers films, retours d’expériences, propageront ce que fait  La Goutte  pour l’Afrique.

Par contre cet échange symbolique ne devra pas être pris pour une rééducation de jeunes en « déroute » qui ne viendraient que semer le trouble et nuire à cet échange généreux. Une jolie casquette Rouge, brodée, au nom du jardinier, est crée:

La Goutte Mamadou Malou

De même aux gentils donateurs
La Goutte : Jacques Dupont

ayant donné plus de 50€ Cette casquette de communication devient à la mode, elle marque les films. Elle est arborée fièrement par le nouveau jardinier qui rentre au pays et qui sera valorisé par les journalistes.

Une complication survient :

Une Goute… (Un village sur des milliers ?) ne répond plus au cahier des charges du contrat. L’inspecteur a essayé, sans succès, de résoudre le problème et malgré le regret des 200 donateurs qui parrainaient ce village, la direction du central de l’association l’abandonne et ne s’en occupe plus. Cette expérience malheureuse, loin de nuire, servira d’exemple aux autres villages qui verront qu’après abandon du parrainage généreux de La Goutte, la brousse a repris sa forme aride et  primitive.

La suite :

A partir des premiers retours d’expériences médiatisées, d’autres missions seront organisées par l’association qui aura alors de gros moyens et le savoir faire, pour les mener à bien.
Les compagnies aériennes offriront des billets au tarif « stand by /remplissage » ou moins encore…
Certaines « Gouttes » (après étude et conseils) pourront par exemple vendre le surplus de ces légumes  à d’autres villages, voir à l’exportation.
Chaque année de nouvelles semences ou des pièces détachées seront envoyées. Cette logistique est surveillée et organisée  chaque semaine depuis le central européen La Goutte.
Il faudra cependant éviter que les moyens de l’association ne fassent pas dégénérer la mission première, en toutes sortes d’idées (bonnes ou faussement bonnes) mais qui brouilleraient le ressort de son principe de base ALIMENTAIRE, généreux et pérenne.
Certains de nos retraités peuvent également trouver là une valorisante transmission informatisée (techniciens agricole, vieux jardiniers,  comptables, enseignants, informaticiens etc. ) Nous aurons besoin ainsi, par exemple, de modérateurs de bon sens, sur le réseau et dans la communication.  Ces modérateurs devront empêcher les « critiques permanentes habituelles des « râleurs » que nous sommes tous  qui pourraient démobiliser les donateurs ainsi que  ceux qui feront fonctionner cette vaste opération de retour au pays. Une petite « bavure » même croustillante ne doit pas affaiblir cette idée utile et généreuse.

1 an de Goutte :

Pour célébrer une année de production, l’Association La Goutte offre aux villages une télévision + parabole + support inviolable, alimentée chaque soir de 19 à 20h (une heure seulement) par la pompe rotative et sa dynamo, qui diffuse un seul programme : La Goutte uniquement axé sur les productions et les recettes de cuisson, la vie dans les autres villages depuis l’arrivée de La Goutte. D’autres actions  incitatives  (médailles ou cadeaux, concours du plus gros igname, jardinier de l’année, etc.) stimuleront les villages entre eux.
Cette émission quotidienne stimulera chaque village, pour que les années suivantes, l’ardeur et le travail quotidien soit encouragé et pérenne.
Chaque soirs pendant une heure, de 7h à 8h Télé La Goutte est diffusé par un poste « simplifié » qui ne capte que le programme La Goutte puis qui s’éteint. Le programme est suffisamment bien fait pour passionner l’ensemble du village … ne sommes-nous pas avides en Europe, nous aussi de ces multitudes de programmes culinaires quotidiens ?. il fera évoluer les modes de cultures maraichères sur ce continent jusqu’à peut-être arriver à l’exportation.
Une équipe technique circule et produit l’émission. Elle est aidée par les télévisions locales de chaque pays.
Cette équipe ne devra pas se dérouter de la ligne maraichère de La Goutte.

Pour que le soufflé ne retombe pas :

Le programme mettra en valeur le respect du travail des jardiniers, comment utiliser certains nouveaux légumes, Ce qu’ont atteint certains villages etc. etc.
Des petits films d’animation attractifs, permettront aux villageois africains de bien comprendre leur rôle. Ces films seront de suffisamment bonne qualité pour servir également aux médias du monde. D’autres pays… que  l’immigration y existe ou pas, suivront notre association, surtout les jeunes qui aimeront voir leur propre pays, aider de façon aussi simple, naturelle, vitale pour l’Afrique, ils suivront la série  hebdomadaire qu’ils ils auront eux même mis en œuvre avec leur dons.

Les pays où sont implantés La Goutte :
Les autorités politiques africaines constateront que La Goutte évite l’exode rural qui désorganise leurs campagnes pour sur-peupler leurs villes. Ce n’est donc pas une source de revenu qu’ils peuvent taxer, mais un moyen de survie offert gratuitement à leur pays, par des pays entiers, pour les aider généreusement à vivre heureux au village.

2 villages pour valider :
Une Goutte en Cote d’Ivoire, l’autre au Sénégal permettront pendant un an toutes les mises au point et toutes les opérations médiatiques de lancement. Dés la pousse des premiers légumes, le buzz alimentaire africain est lancé.

Euro-Goutte:
Tel l’Air Bus, différents pays Européens pourront produire un des  éléments de La Goutte : Tous ces produits sont achetés au meilleur prix par l’association La Goutte. Ces achats sont publiés à livre ouvert, sur le site www.Goutte.org

Les pays producteurs :
La Belgique produit le grillage
L’Allemagne produit la pompe
L’Italie  produit la citerne
La France produit les plantes et les graines
L’Espagne produit le panneau solaire
Le Portugal produit les robinets goutte à goutte
La Tchécoslovaquie produit la tarière
La Hollande produit les tuyaux
Le Luxembourg la collecte des dons et la gestion des salaires.
La Roumanie transports
La Pologne produit les petits outils agraires
La Suède produit les postes TV et le support métallique
La Grèce  produit les disques/engrais

Les épouses des présidents :

Cette multitude d’oasis, qui nourrissent tant d’africains, finissent par créer un G40 (G pour Goutte)  des épouses de présidents Européens et africains,  qui lui font l’honneur de co-présider La Goutte, chacune dans son pays participant à cette vaste et concrète action humanitaire.
Cette communication entre les premières dames, anoblit le projet et aplanit toutes les difficultés. Elles feront  à leur tour, pleuvoir ces petites gouttes d’eau qui changent tout !

 

Serge Lecacheur
Donneur d’idées.

 

Serge Lecacheur Recherche & Développement